BONIFACIO
Jeudi 24 septembre 2009, 22:30, Nemo est garé au poste à essence de Bonifacio. Ouf, nous n'avons pas coulé et savons maintenant que nous avons vraiment un bateau qui tient la mer et qui épouse les vagues à la perfection. Allez, mangiare e dormire. Demain est un autre jour…
Et donc, le vendredi 25, vers les 07:30, le mousse sort (toujours avec son café), pour se faire héler par un jeune homme au demeurant charmant (et mignon, en plus…) lui expliquant qu'il fallait qu'on parte parce qu'il avait réservé pour faire le plein de son gros yacht. Le mousse, dont on connaît l'absence de réactivité (surtout au réveil et avant d'avoir fini son 1er café et ses 3 premières clopes), reste coi tandis que le hublot de la cabine bâbord s'ouvre pour laisser émerger la tête d'un Dyno expliquant à ce quidam, que, nous, on n'en avait que pour 5 minutes. Branle bas de combat, le pompiste est là (et on dira que les Corses ne bossent pas), le plein est fait et nous trouvons une place un peu plus loin. Place que la capitainerie nous permet d'utiliser jusqu'à midi, et, gracieusement. Direction donc mon boucher (dont on vous a peut-être vanté les qualités début juillet), les fruits et légumes (on n'est plus dans les prix siciliens), un petit tour de météo avec Vodafone 3G, et Youp, on repart.
Quelques images de … déjà vu, même si on n'a pas photographié Sir Robert Baden Powell, et si on a, comme d'hab, craqué sur le drapeau de nos cousins.