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La grande aventure de Nemo sur les flots

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La grande aventure de Nemo sur les flots
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12 octobre 2009

LE BLOG : MODE D'EMPLOI ET +

Bonjour,

Ce blog est trié par date décroissante, du plus récent au plus ancien. S'il y a plusieurs articles dans la même journée, ils sont triés par ordre chronologique.

Quand vous accédez au blog, vous voyez en premier les derniers articles publiés. A la fin de ces articles, en cliquant sur page suivante, vous accédez donc aux articles précédents.

Vous pouvez également vous déplacer en utilisant le calendrier, en choisissant Année, Mois et Jour. Dans ce cas, vous n'accédez qu'aux articles de la journée sélectionnée.

La mise à jour du blog se fait quand on a un accès à Internet suffisant. Les images peuvent être publiées ultérieurement compte tenu de la lenteur de leur aléatoire insertion.

A très bientôt à tous.

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27 septembre 2009

DE BONIFACIO A CANET

Vendredi 25, 12:00, Nemo quitte la Corse, direction Canet. La météo est moins mauvaise que les jours précédents, mais pluie et orage sont toujours au rendez-vous. La journée et les quarts de nuit s'organisent, sans problème majeur à l'horizon. L'occasion de vous montrer un ravitaillement en mer, l'objectif de notre skipper-convoyeur étant de rentrer au plus vite. Le concernant, on ne peut que vous le recommander, tant pour son professionnalisme, que pour son self-control et sa psychologie. En plus, il est hyper sympa. Incroyable ce qu'il nous aura appris en aussi peu de temps, et dans, il faut le reconnaître, des conditions aussi extrêmes, que, rassurez-vous, nous n'aurions pas affrontées seuls. La météo était même tellement clémente (oups… tout est relatif avec nos 2 ris…) que notre Dédé peut profiter de son gennaker. Regret : a pas pu sortir le spi !!!

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Mais c'est quoi, cette dernière image ? Eh bé, c'est le capitaine embrassant le sol chéri du ponton X, à Canet, le dimanche 27, vers les 06:30 (ce pour quoi c'est pas net).

Allez, un peu de repos, pour les impressions à froid et les stats, laissez-nous souffler. @ +

25 septembre 2009

BONIFACIO

Jeudi 24 septembre 2009, 22:30, Nemo est garé au poste à essence de Bonifacio. Ouf, nous n'avons pas coulé et savons maintenant que nous avons vraiment un bateau qui tient la mer et qui épouse les vagues à la perfection. Allez, mangiare e dormire. Demain est un autre jour…

Et donc, le vendredi 25, vers les 07:30, le mousse sort (toujours avec son café), pour se faire héler par un jeune homme au demeurant charmant (et mignon, en plus…) lui expliquant qu'il fallait qu'on parte parce qu'il avait réservé pour faire le plein de son gros yacht. Le mousse, dont on connaît l'absence de réactivité (surtout au réveil et avant d'avoir fini son 1er café et ses 3 premières clopes), reste coi tandis que le hublot de la cabine bâbord s'ouvre pour laisser émerger la tête d'un Dyno expliquant à ce quidam, que, nous, on n'en avait que pour 5 minutes. Branle bas de combat, le pompiste est là (et on dira que les Corses ne bossent pas), le plein est fait et nous trouvons une place un peu plus loin. Place que la capitainerie nous permet d'utiliser jusqu'à midi, et, gracieusement. Direction donc mon boucher (dont on vous a peut-être vanté les qualités début juillet), les fruits et légumes (on n'est plus dans les prix siciliens), un petit tour de météo avec Vodafone 3G, et Youp, on repart.

Quelques images de … déjà vu, même si on n'a pas photographié Sir Robert Baden Powell, et si on a, comme d'hab, craqué sur le drapeau de nos cousins.

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24 septembre 2009

DE PORTOROSA A BONIFACIO

Hier, mardi 22 septembre 2009, nous quittâmes donc, en début de soirée, la superbe (bellissima) marina de Portorosa, direction Bonifacio. Si le début de la traversée fut relativement calme, accompagnée des lumières des îles Eoliennes que nous laissions à notre droite, parfois éclairées des crachats un peu lointains de son autre majesté : le Stromboli et sans dangers de la part des autres bateaux… absents de l'histoire, la suite fut un peu plus… rock 'n roll !!!

Houle et vent arrière, force 6 à 7 au début pour un 2 Douglas, pour se retrouver au bout de quelques heures dans un 7 à 9, et un Douglas à 5. Eh oui !!! Et 2 prises de ris, SVP, 2.

Quand on voit un catamaran lever légèrement une patte, en l'occurrence, tribord, que, quelques années auparavant on a dessalé 2 fois sur un Dart 16, on se demande : "mais qu'est-ce que je suis venu faire dans cette galère". Au bout de quelques heures, on comprend que l'on a un très bon pilote auto, que "Bébé" suit bien les vagues, et que c'est un vrai régal. Le mousse peut donc prendre les quarts qu'elle affectionne (23:00 -> 04:00 fut son record), en appelant cependant tout le monde à la rescousse à l'approche du seul cargo dans le coin dont le cap, merci la houle, variait de 60° (haut la main). Lequel cargo a bien dû se demander quels étaient les fous qui naviguaient dans de telles conditions, avant de donner ce que lui-même qualifia de son cap "théorique". Vous nous croirez ou pas, les vagues étaient tellement grosses, que, souvent, on le perdait de vue…

Au petit matin le capitaine (devenu second en la circonstance) appela Dyno, devant une mer… noire, qui semblait vouloir submerger le bimini. Un peu plus tard, ce fut le mousse, qui, sortant de son sommeil, avec son café, se retrouva… au fond d'une cuvette. Une impression d'être… au creux de la vague, ça, c'est rien, mais avec un mur de vagues tout autour (bleu marine très foncé à cette heure là, la luminosité ayant joué son rôle réconfortant).

Exemple, même si l'appareil photo a une fâcheuse tendance à aplatir… que ceux qui connaissent la hauteur des panneaux solaires jugent de l'ampleur des dégâts.

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Rassurez-vous, on a quand même pu apprécier :

  • Le petit sauté lentilles,
  • Les compétences et le calme professionnel de Dyno,
  • L'absence d'autres bateaux (pas fous),
  • La houle arrière nous portant à des pointes de 13 nœuds (sans moteurs avec 2 ris au génois et à la GV),
  • Les orages restant à distance,
  • Le coucher de soleil sur les côtes de la Sardaigne avant l'arrivée à Bonifacio.

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22 septembre 2009

PALERME

S'il y a deux ans on vous chantait : allons à Messine, pêcher … l'Espadon (qui a raté cette information vitale, qui ?), cette année, on vous chante allons à Palerme chercher Dyno.

Vers les 10:00, notre Punto de location est à disposition, quelques courses, et nous voilà partis vers Messine. De Portorosa à l'aéroport de Messine, autoroute presque tout le long, avec un nombre de tunnels, quelque chose de phénoménal !!! Non, vous n'aurez pas de photo du bord de mer, même si la côte nord de la Sicile est magnifique. L'objectif est, cette fois, la conduite automobile, et puis, de toute façon, fait pas beau (une constante depuis 15 jours).

Trouver l'aéroport fut très simple, s'y garer aussi. Y manger une "vraie" pizza fut une autre histoire.

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A 19:00, la voiture était restituée, sans heurter ni arbre, ni piéton, ni autre voiture, ainsi que le mousse l'expliqua au loueur, au demeurant plus inquiet d'un éventuel arbre que d'un hypothétique piéton (en plaisantant, certes, certes…).

A 21:30, la météo (pas fameuse) était prise et le repas aussi. Les pleins d'eau et de gas-oil étant OK, le mousse fait ses adieux au personnel de la marina tandis que Nemo met le cap vers… Bonifacio. Ciao, ciao bella Sicilia.

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21 septembre 2009

PORTOROSA : FAUNE ET FLORE

On vous a déjà dit tout le bien qu'on pensait de cette marina. Regardez donc maintenant sa richesse en flore et oiseaux… Croyez-nous, essayer de photographier un des multiples martin pêcheurs qui vous narguent, même sur vos propres amarres, tant que votre appareil photo n'est pas prêt, pour filer comme l'éclair au moment où l'on s'apprête à prendre la photo, ce n'est pas de tout repos…

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20 septembre 2009

LA MARINA DE PORTOROSA

Or donc, hier, samedi 19 septembre, nous découvrions Portorosa Marina, l'une, paraît-il, des plus prestigieuses marinas, de la Sicile tout du moins. Si vous cherchez un mélange harmonieux d'eau et de nature, de canaux et de bateaux et à être réveillés par les chants des martin pêcheurs, cette marina est pour vous. Mélange de Venise et de Port Grimaud (Dieu merci à beaucoup moins cher), cette marina possède un charme incomparable. Et on ne parle pas de la gentillesse, de la compétence et de la discrétion du personnel. Si l'eau et l'électricité sont comptés en sus, il ne nous en coûtât que 10 euros pour 4 jours contre plus de 10 par jour à Milazzo, pour la même utilisation (cherchez l'erreur). Par contre, à l'exception du centre commercial qui jouxte la capitainerie et de l'hôtel Hilton, pour "la spesa", faut faire avec taxi, location de voiture ou bus. Mais quel calme, quelle verdure, quel charme… on y resterait bien !!!

Au fait, quand vous voyez le pont, c'est que la capitainerie n'est plus très loin…

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19 septembre 2009

VERS PORTOROSA

Samedi 19 septembre 2009. Vers les 08:00, alors que nous avions décidé de voguer vers Palerme, nous prenons une décision importante : vu les conditions météo, et qui, en plus, ne semblent pas aller vers l'amélioration, nous restons… A part que la marina ne peut nous garder, malgré tous les efforts du mousse. Au diable l'avarice, Portorosa (à quelques nautiques de là) peut nous accueillir, pour quelques euros de plus par jour. Adieu la grande ville et ses facilités : Vodafone, pizzas (on ne vous dit que ça), marché et supermarché, c'est vers les 11:00 que nous mettons le cap vers Portorosa où nous arrivons vers les 14:00, garés, au grand désespoir du mousse, mais avec l'aide experte des marineros, entre deux poteaux, et arrière à quai. A quoi ressemblait la traversée ? Tout d'abord, ciao, ciao Milazzo, puis bonjour le cap Milazzo, ses constructions et grottes, sans oublier ses écueils.

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19 septembre 2009

LA FETE A PORTOROSA

Après avoir rempli les formalités d'usage et découvert cette nouvelle marina, nous grigottons tranquillement lorsqu'un bruit de tonnerre nous surprend. Encore !!! Eh non, les Siciliens, qui nous rendent vraiment bien l'amour que nous leur portons, fêtent notre arrivée dans ce lieu plus que magique (ben quoi, on a le droit de rêver !!!).

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18 septembre 2009

MILAZZO : LA VIEILLE VILLE

Entre quelques averses et quelques courses, quelque repos… bien mérité (même si certains diront : encore), visiter la vielle ville de Milazzo vaut quelques instants… entre les balcons regorgeant de plantes à profusion, les ruelles étroites, les multiples églises, la citadelle (on marie encore dans la chapelle), mais vu les travaux de rénovation, attendez peut-être encore quelques mois pour que vos yeux soient réellement réjouis.

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